Au fil de ses deux années à la tête du Tricolore, St-Louis a démontré non seulement sa passion pour l'enseignement, mais aussi sa volonté de partager son savoir et ses réflexions avec les médias.
Il a déjà précisé que lorsqu'il prend le temps d'expliquer, ce n'est pas uniquement pour les journalistes, mais surtout pour les nombreux fans fidèles de l'équipe.
Malgré cette transparence exemplaire, il a été confronté à une critique sévère suite à une de ses récentes interventions devant la presse.
En effet, l'entraîneur-chef a été pointé du doigt par certains internautes pour ses difficultés occasionnelles à s'exprimer en français. Un exemple concret a été mis en lumière par un utilisateur qui n'a pas hésité à souligner ces prétendus linguistiques.
Mais ce qui est souvent négligé, c'est le contexte de ces petits défis linguistiques que St-Louis peut rencontrer. Comme l'a justement relevé un internaute :
Avant de revenir à Montréal, St-Louis a passé la majeure partie de sa carrière et de sa vie dans des environnements anglophones. C'est donc tout à fait naturel qu'il puisse parfois chercher ses mots en français.
La critique envers St-Louis paraît d'autant plus injustifiée que le hockey, dans son ensemble, baigne dans une terminologie majoritairement anglophone. Même les plus grands défenseurs de la langue française peuvent, de temps à autre, être pris en défaut face à un mot ou une expression spécifique.
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